60 millions d’animaux tués pour leur fourrure chaque année, sans compter les lapins. Des ratons laveurs, des
renards, des coyotes, des chiens, des chats et bien d’autres.
60 millions d’animaux qui vivent dans des cages minuscules, alors que ce sont des animaux sauvages pour la
plupart. Des animaux qui ne courent plus, ne nagent plus, n’ont plus de terrier, ne cherchent plus leur nourriture,
ne rencontrent plus leurs congénères, ne connaissent plus la nature.
Des animaux qui meurent dans des souffrances atroces. Parfois électrifiés à l’aide d’électrodes placées dans l’anus et dans la bouche, ils chauffent, puis brûlent. Ou bien ils sont gazés. Parfois, la dose n’est pas mortelle et les animaux se réveillent pendant que leur peau est arrachée.
Les lapins sont égorgés. Les chinchillas se font souvent briser la nuque. On recourt également à des poisons
qui provoquent des crampes douloureuses et paralysantes. Il arrive que les animaux provenant d’Asie soient dépecés vivants.
Et l’on ne parle pas des nombreux animaux sauvages encore piégés, qui agonisent durant de longues heures,
les pattes brisées.
La faute à qui ? La faute aux femmes, aux hommes qui se laissent séduire par un col en fourrure, des gants, un
ponpon, des bottes.
La faute aux jeunes, aux vieux, qui préfèrent être à la mode plutôt que d’épargner les animaux.
La faute aux femmes, aux hommes qui pensent que leur plaisir, leur beauté, leur confort passe avant celui des
autres, et en l’occurrence des animaux.
La faute aux femmes, aux hommes qui croient qu’être beau vaut que des êtres soient sacrifiés. La faute aux femmes,
aux hommes qui pensent qu’ils sont plus importants.
La faute à l’égoisme, à l’inconscience, à la méchanceté.
Car aujourd’hui l’on sait. Et si on ne le sait pas, c’est que l’on s’en cache, parce que la vérité est bien trop dérangeante.
Mais la souffrance ira-t-elle toujours dans le même sens ?
Animal cross se mobilise pour que cesse la commercialisation de la fourrure. Rejoignez-nous !